Appliquons
le même raisonnement avec la conjoncture moderne qui stipule
que : « Si tout nombre pair supérieur à 2 peut s’écrire comme
somme de trois premiers, l’un deux est nécessairement 2.
En se
basant sur la démonstration de la conjoncture de Goldbach précédente
P=2N+3M
avec M
= 2k
Supposons un nombre entier naturel W somme de P et
2 étant donné que P résulte d’une somme de deux nombres premiers alors W= P +
2 est la somme de
Trois nombre premiers dont l’un d’eux est 2.
Vérifions si tout nombre premier peut s’écrire comme
W.
W= P + 2
=2N+3M+2
=2N+2+3M
W =2(N+1) + 3M avec M=2k. et
|(N+1) – M|
{0 ;1 ;2}
-
Si |(N+1) – M| = 0 alors N+1-M=0 =>
N=M-1=2k-1
W=2(2k-1)+3(2k)=10k-2 :N8
l’ensemble des entiers naturels
pairs d’unité 8.
-
Si |(N+1) – M| = 1 :
*soit (N+1)-M=1 =>N=M+1-1=M=2k
dans ce cas W=2(2k)+3(2k)=10k : N0 l’ensemble des entiers
naturels pairs d’unité 0.
*soit (N+1)-M=
-1 =>N=M-2=2k-2 dans ce cas W=2(2k-2)+3(2k)=10k-4 : N6 l’ensemble
des entiers naturels pairs d’unité 6.
- Si
|(N+1) – M| =2 :
*Soit (N+1)-M=2 => N=M+1=2k+1 dans ce cas W=2(2k+1)+3(2k)=10k+2 : N2 l’ensemble
des entiers naturels pairs d’unité 2 ;
*Soit (N+1)-M= -2 => N=M-3=2k-3 dans ce cas W=2(2k-3)+3(2k)
W=10k-6 : N4 l’ensemble des entiers
naturels pairs d’unité 4 ;
D’ après ce qui précède on peut dire que Si tout nombre pair supérieur
à 2 peut s’écrire comme somme de trois premiers, l’un deux est nécessairement
2.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire